Etaient également à bord de l’avion Casa 235 qui a ramené les otages, le chef d’état major particulier de la présidence du Faso, le Général Gilbert Diendéré et le conseiller spécial de Blaise Compaoré, Ould Limam Chafi. «Nous voulons remercier le Burkina Faso. Merci beaucoup gouvernement du Burkina Faso», c’est la seule phrase qu’a répété la porte-parole des otages arrivés dans la capitale burkinabè, Rossela Urrux. Après 9 mois dans les repaires du Mujao, les Espagnols Enric Gonyalons, Ainhoa Fernandez Rincòn, et l’Italienne Rossela Urrux, sont maintenant libres. Selon l'un des chefs du Mujao, ils ont été libérés contre une rançon et en échange de l’élargissement de trois islamistes détenus dans des prisons mauritaniennes et nigériennes. Une autre source précise qu'un Sahraoui et un autre islamiste, qui étaient détenus en Mauritanie et au Niger, ont été amenés au nord Mali dans l'avion parti chercher les otages, en assurant par contre n'avoir aucune information sur une éventuelle rançon. Pas d’interview avec les otages ni avec les négociateurs burkinabè. Les médias présents se sont juste contentés de la trop lapidaire déclaration prononcée par la désormais ex-otage italienne.
C’est le général Diendéré, pressé par la meute de journaliste, qui a fini par lâcher: «ils ont tous été libérés le mercredi. Les deux femmes (Ainhoa Fernandez et Rossela Urrux) ont été transférées le mercredi soir. On a attendu jusqu’à ce matin car le transfert de l’homme, Enric Gonyalons, à Gao a mis plus de temps que prévu.» a-t-il précisé. Vers 14h GMT, les ex-otages ont embarqué avec des membres des services de renseignements de leurs pays dans deux avions, qui ont décollé pour les ramener chez eux.
source: http://www.fasozine.com/index.php/societe/societe/8831-liberation-dotages-occidentaux-le-burkina-faso-sillustre-de-nouveau
C’est le général Diendéré, pressé par la meute de journaliste, qui a fini par lâcher: «ils ont tous été libérés le mercredi. Les deux femmes (Ainhoa Fernandez et Rossela Urrux) ont été transférées le mercredi soir. On a attendu jusqu’à ce matin car le transfert de l’homme, Enric Gonyalons, à Gao a mis plus de temps que prévu.» a-t-il précisé. Vers 14h GMT, les ex-otages ont embarqué avec des membres des services de renseignements de leurs pays dans deux avions, qui ont décollé pour les ramener chez eux.
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